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[ palestine ]
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http://www.wydad.com/stats_saison.php
20/09/2006 14:00
Commentaire de nonosa (20/09/2006 14:17) :
pour moi je le consedere comme meileheure rapeur marocain
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((فان حزب الله هم الغالبون))
06/09/2006 15:55
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xXXx men xXXx
06/09/2006 15:06
Commentaire de raikkonen tsc g.b 1 anne (04/06/2007 13:53) :
eeeeeeeeeeeee petit enfant
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histoire d' un club
03/09/2006 21:02
L'origine de la création du Wydad Athletic Club, se trouve dans la résistance à l'oppression du protectorat. Ainsi bien avant l'indépendance, le port de Casablanca était entouré d'un grand nombre de piscines, et pour pouvoir avoir accès à ces piscines, il fallait appartenir à un club, clubs qui étaient crées et gérés par des européens. A partir de 1935/1936, un certain nombre de marocains juifs et musulmans purent adherer à ces clubs et ainsi profiter des piscines de la ville. Mais rapidement le nombre de marocains devint trop important ce qui a provoqué une certaine forme de crainte de la part des européens qui renvoyèrent les marocains des clubs. C'est ainsi qu'est venue l'idée de la création d'un club par des marocains, de telle sorte à permettre aux juifs et aux musulmans de se baigner dans les piscines du port. Le club du Wydad de Casablanca fut ainsi crée pour participer aux compétitions de Water Polo... Tout ne fut pas très facile, car après avoir demandé plusieurs fois l'autorisation aux autorités francaises pour la création du club, demandes qui furent chaque fois sans réponse, les Wydadis de la première heure (Haj Mohamed Benjelloun et le docteur haj Abdellatif Benjelloun Touimi), contactèrent l'association franco-marocaine pour tenter le régler le problème de l'enregistrement du club. C'est ainsi que le résident général Nogues intervint personnellement pour autoriser la création du Wydad, ceci sous certaines conditions très contraignantes: l'éloignement de la religion (pas de religion dans le sport), l'éloignement de la politique, pas de racisme (envers les francais), partage des 12 sièges du comité entre marocains et francais à part égales. C'est ainsi que pour la première fois au Maroc, fut crée un club par des marocains. Les membres du premier comité directeur du Wydad étaient: Haj Mohamed Benjelloun (président), Maitre Mohamed Zarouk, Mohamed Ben Lahsan, Haj Mohamed Ben Mohamed Ben Lahsan Benjelloun, Ralph Botbol, Charles Benchetrit, Docteur Bienvenu, Lucien Bilikrinieu, Pierre André, Boravel, Croné Vivirel, Mohamed Masson Il faut noter enfin le grand apport du docteur haj Abdellatif Benjelloun Touimi, qui devait s'occuper de la rédaction des statuts du club, ce dernier eut l'idée de créer des statuts généraux et non pas spécifiques à la natation, de telle manière à pouvoir créer d'autres sections pour le club, c'est ainsi qu'est apparut le basket ball en 1938 et le football en 1939....
Commentaire de wydadi (05/10/2006 14:50) :
dima wydad
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http://www.gsmpolyphoniques.free.fr/Wydad/Archives/Wac_2-0_Taraji.wmv
03/09/2006 20:58
Commentaire de hindoss zwin (20/09/2006 14:35) :
salut mon ami jé bien aimé ce blog . by é bonne chance avec tes etudes meme
s il ya pas des profs .
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oualidia
03/09/2006 14:27
Oualidia is in the centre of one of the richest birdlife habitats in Morocco and an important resting area for migrating birds in Spring and Autumn. The coastal wetlands, sands and saltpans, the jagged reefs and the lagoons of Sidi Moussa and Oualidia shelter a huge range of species - pink flamingoes, avocets, stilts, godwits, storks, waders, terns, egrets, warblers and many others.
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Des pêcheurs vous proposeront de déguster le poisson frais qu’ils feront griller à même la plage ou qu’ils vous livreront à domicile. Vous pourrez aussi découvrir la cuisine locale dans les petits restaurants environnants, ou faire vous-même votre marché au souk du samedi.
L’ostréïculture, pratiquée sur place, rend ses huîtres célèbres.
C’est un site privilégié pour les adeptes du jet-ski ! Le régal des vacances !
A d’autres périodes, c’est la chasse qui vous mobilisera, aux alentours, dans la forêt.
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Les monuments de Oualidia
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Cafés à Oualidia
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Restauration à Oualidia
Restaurant Thalassa, which has set menus for around 50dh, and, on the right as you enter El Jadida, Le Parc à Huitres No7, which serves and sells oysters.
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casablanca
03/09/2006 14:22
La ville n’est qu’un enfant
La ville est un enfant, qu’on désire parfois, dont on accouche et qu’on chérit, pour son bien être et le nôtre. Ses premières rues, ses premières rides, ses premiers centres d’intérêt, bougent et évoluent avec le temps. Même ses pédagogues changent, se complètent ou se contredisent. Son premier quartier, ses premières écoles l’accompagneront pour longtemps. Garder un œil sur ses fréquentations permet de comprendre ses influences et ses inspirations.
Casablanca, est un enfant du 20ème siècle, du moins c’est pendant ce siècle qu’elle a ouvert les yeux. Elle a connu des périodes de prestige, on a même souvent dit qu’elle est vouée à un grand avenir. Son arbre généalogique fait référence à une lignée d’une grande noblesse. Sa vigueur et son physique témoignent d’une tonicité d’ou rejaillissent ses croisements de styles et ses rapports aux horizons mondiaux.
Casablanca est une jeune femme…
L’océan bleu de Casablanca, croise le regard des générations qui l’ont vue naître, s’épanouir et se confondre avec les villes de son temps. Ses amoureux doivent être nombreux et secrets.
Qu’en est-il aujourd’hui de cette belle ville, dont les charmes ont fait rêver plus d’un promeneur ? ( promoteur) ? Que sont devenus les enfants qui sont venus se blottir dans ses bras tout au long du siècle ? A-t-elle profité de la nouvelle moudawana, pour protéger ses vieux jours ?
Quand elle rencontre des étrangers, Casablanca s’exprime autrement, elle vante son passé et chante ses mémoires. Quand elle retrouve ses vieilles connaissances, elle se fait modeste et s’ennuie de leur rappeler ses maux. Ne serait-elle pas en train de nous faire un dédoublement de personnalité ? ce serait dommage de la part d’une métropole qui a besoin d’une image forte pour accéder aux honneurs des investisseurs et des faiseurs de projets. Elle ferait mieux de ne plus suivre le premier venu qui lui promet rêves et mirages.
Casablanca la blanche, a été peinte et repeinte à la couleur des fantasmes de ses bâtisseurs. Entre ombres et soleil de plages, ses vieux arbres rappellent ces parasols délavés qu’on a oublié de ranger pour une nuit. De ses premiers rêves de jeune fille, il reste encore des souvenirs. Des photos de jeunes hommes aux visages éclairés, des films et des lettres qui parlent de ses projets oubliés, de ses amours du temps ou elle faisait encore du théâtre.
…qui ne s’est jamais mariée
Casablanca voulait être capitale de plein de choses. Aujourd’hui que toutes ses amies ont pris de l’âge, elle s’est assagie. Elle pense choisir un métier, on lui a proposé un beau costume d’hôtesse du tourisme. Elle l’accepte, elle ne fait plus d’histoire. Les jeunes qu’elle voit autour d’elle commencent à lui faire de l’ombre.
Toutes ces jeunes mariées pavanant le long de sa corniche, la rendent pensive. Avec leurs parements, takchitas, hénna et hululements, elles bravent ses choix modernistes pour lui parler de tradition. Casablanca n’a rien contre la tradition Elle a même souvent rêvée d’un grand mariage à la marocaine. Certains cadeaux ne lui auraient pas déplus, tel une petite menara, un jnan sbile, ou même un grand jam-el-fna. Mais tout son centre ville, avec son parc et ses grands boulevards, est habillé à l’européenne. Elle l’a même boudé avec sa voie de contournement, en passant près de ses quartiers populaires. Ces derniers, qui n’ont jamais perdu l’espoir de la revoir souriante.
Enfin, qui peut prédire l’avenir de Casablanca ? saura-t-elle s’accommoder de son nouveau visage ? Elle qui a horreur de la chirurgie esthétique, elle compte sur les gens de bon goût pour reconnaître ses traits de beauté qui ne courent pas les rues.
Soubat Oidiê - Yabiladi.com Architecte-Urbaniste Texte protégé par copyright
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maroc
03/09/2006 14:20
Marrakech, entre protection et promotionMarrakech, je n’ai trouvé de sens à ton nom dans aucune langue. C’est dire que pour moi tu n’appartiens à personne. Ton nom a une intonation masculine, tout comme les marrakchis. Cette masculinité consommée, leur a donné un droit d’accès sans complexe, à des sujets aussi sensibles que ceux de la beauté, des sentiments, de la finesse, de l’érotisme, de l’art ou de la cuisine. Ces sujets riches, qui ont toujours puisé dans ta beauté pour alimenter ton art oral, deviennent de plus en plus rares et sont mis en équation avec un progrès ravageur. Casablanca, entre vision et révisionsLes dessinateurs des villes sont des inconscients. Ils rêvent pour les autres et se réveillent à chaque fois dégoûtés. A l’image d’un voyage de groupe, dont ils auraient improvisé le trajet, ils se retrouvent tout seuls et demandent conseil aux passants. De combien de noms ils ont appelé cette ville. Taureau indomptable, enfant terrible ou marché de requins. Ces images ne représentent que leurs peurs, qu’ils se les partagent entre eux, loin de nos berceaux. Taroudant, don de DieuTAROUDANT, El Mouhouba, Taroudant don de Dieu Taroudant est la capitale rayonnante du Souss, au sud du Maroc. Une atmosphère singulière y règne à telle enseigne que l’on croirait la Nature faite par un peintre. Elle est le point de ralliement du Sahara, du Souss et de Marrakech. Capitale agricole, champs et vergers rivalisent malgré une terre aride et pour laquelle tous les soins sont apportés. L’on y trouve le citron, l’olivier ; Taroudant est surtout connue pour ses arganiers et son huile fameuse, l’huile d’amande douce, le miel. Meknès, cité des artsMEKNES, CITE DES ARTS MEKNES DES OLIVIERS MEKNASSA ES-ZITOUN Meknès ville impériale, étalée entre le Moyen-Atlas et le Sahara, aux portes du Tafilalet, a de la noblesse et du panache. Elle est l’une des plus belles villes du Maroc avec ses vingt-cinq kilomètres de remparts, ses ruines imposantes, ses jardins immenses, ses portes monumentales. Elle fut la capitale de Moulay Ismaïl, souvent comparé à Louis XIV tant par le règne que par les embellissements qu’il a apportés à la ville. D’ailleurs, Meknès est surnommée le « Versailles marocain ».
Commentaire de nonosa (20/09/2006 14:19) :
je t aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime mon blad
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